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un peu de moi, des autres et des mots
24 janvier 2011

un réveil de rêve

 

MAR97_27_soleil_couchantNous étions en vacance dans le sud. Nous avions loué un petit mobile home et nue fois encore faisions chambre à part.. Enfin chambre c'est beaucoup dire puisqu'elle avait la chambre et moi le canapé convertible. Elle était enceinte de 7 mois et quelques, son ventre s'arrondissant lentement et ses seins s'alourdissant bien plus vite. Notre premier enfant dormait du sommeil du juste, récupérant des forces qu'elle pourrait dépenser sur la plage en se jetant à corps perdu dans les vaguelettes de la méditerranée.
Mon sommeil fut dérangé par le bruit d'une porte qui s'ouvre, des pas légers. Mon instinct de père m'éveille totalement des fois que ce serait notre fille qui viendrait me rendre une nocturne visite. Mais non il ne s'agit que de mon épouse qui précédée par son ventre se rend au petit coin.
J'émets un grognement en signe de bienvenu dans cette nuit chaude et attends patiemment son retour, sachant pertinemment qu'il ne me sert à rien de chercher à retrouver les doux bras de Morphée.
Quelques minutes plus tard elle réparait et se dirige vers la chambre. J'émets un nouveau grognement pour lui souhaiter une bonne fin de nuit. Et là, au lieu de passer la porte la voilà qui se tourne vers moi et avance dans ma direction. Elle s'allonge à coté de moi sur le canapé et sans un mot, m'embrasse goulûment comme si sa vie en dépendait. Moi, bon mari, je réponds à son fougueux baisser et avec délice goutte à cette langue aux saveurs mille et mille fois connues mais toujours aussi savoureuse.
Tendrement ma bouche glisse le long de ses lèvres, de son menton, s'enfuit dans la pente de son cou pour me perdre sur le râpeux tissu de son tee shirt. Mais je ne me laisse pas ralentir par ce tissu au goût de femme et trouve sans peine les poitrine lourde de ma femme. J'ai à peine le temps de prendre une pointe semi erigée entre mes lèvres que d'une main avide elle retrousse le tissu qui la couvre pour me permettre d'aller plus avant. Et c'est avec cette même rage qu'elle appuie sur ma tête pour que j'avale son sein. Je ne cherche même pas à résister, homme faible que je suis et fonce avec délice sur cette poitrine adorable et chaleureuse. Je suce, mordille étouffant à moitié pendant que ma main doucement griffe son dos.
Je la sens qui se tortille, bouge. Je manque plus d'une fois d'étouffer mais je tiens bon, aspirant, léchant, tétant. Puis en silence elle s'éloigne de moi et m'enjambe. Son ventre ajoute un poids nouveau sur moi et la position lui semble inconfortable alors elle se redresse, ondule quelques instants des hanches au-dessus de mon sexe gonflé, dressé tant qu'il peut dans mon caleçon puis entreprend de remonter vers mon visage. Après quelques minutes de contorsions elle présente à ma bouche avide son sexe dans le quel je plonge avec délice. Je me repais de ces sucs, je m'enivre de son odeur intime. J'aimerai lui caresser les seins mais mes bras sont bloqués sous ses jambes. Elle se donne du plaisir, me baisant la bouche comme s'il s'agissait d'un sexe. Je la tends au maximum pour mieux répondre à ses coups de bassins de plus en plus violent. Ses soupirs accompagnent son plaisir, d'abord timide puis glissant vers le rauque. Elle se cambre, pose ses mains sur mes cuisses et continue de chercher son plaisir sur ma bouche. Ma langue la fouille largement pendant que mon nez caresses son clitoris que sa position met à porté. Je n'avais jamais imaginé que la petite mort pouvait être celle la. J'étouffe délicieusement, me noie dans le plaisir de mon épouse. De plus en plus énergiquement elle se trémousse, se déhanche. Puis d'un seul coup elle se redresse, m'attrape par les cheveux et me colle à son sexe. J'aspire, avale autant que je peux puis alors que ses cuisses me serrent la tête comme un bout de bois entre les mâchoires d'un étau ne bouge plus. Son corps tremble, mes cheveux crient grâce et si ma bouche n'était pas si hermétiquement fermé par ce sexe mes lèvres se feraient leur porte parole.

Puis aussi brutalement que la jouissance est venue elle reflue et tous les muscles de ma tendre et douce épouse se relâchent. Doucement elle glisse contre moi, ses lèvres viennent goûter sur les miennes le parfum de son plaisir, sa langue vient féliciter la mienne dans un lent et tendre ballet et son corps continue d e descendre. D'un mouvement souple elle libère mon sexe qui n'attend que cela. Elle positionne sa fente au-dessus de cette tige qui ne demande que cela et doucement se caresse sur le bout. Doucement elle me glisse à l'oreille je suis désolé, j'ai jouit trop fort, c'était trop bon, je n'en peux plus. Un léger baiser sur les lèvres et elle se lève puis finalement retourne se coucher. Et moi … Ben moi je reste comme un c.n sur mon canapé à me demander ce qu'il se passe. Et vous le croyez si vous voulez, et bien je ne me suis même pas satisfait seul. Et pour tout dire … cette nuit là elle a réalisé sans le savoir un de mes fantasmes.

 

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